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Le bain dérivatif

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La pratique de ce bain active plusieurs fonctions du corps :
 

• Alimentation permanente des os et des muscles à tout âge, évitant la perte osseuse et musculaire, l’ostéoporose et l’usure des cartilages.

• Transport des déchets internes vers la sortie évitant le surpoids ou la maigreur.

• Transport vers la sortie des produits toxiques absorbés par la peau ou inhalés, évitant une lente et progressive intoxication ainsi que la formation de bien des tumeurs.

• Équilibre hormonal, très important pour un bon fonctionnement de la thyroïde, des surrénales, important pour une bonne fertilité autant chez les hommes que chez les femmes.

• Activation des défenses immunitaires nous protégeant ainsi des agressions microbiennes ou virales.

• Contrôle de la pression artérielle pour éviter hypotension et hypertension.

• Prévention de la formation de caillots ce qui évite les embolies qui bouchent les vaisseaux sanguins et sont responsables d’AVC et de ruptures d’anévrismes.

• Régulation du sucre dans les muscles.

• Rôle antidépresseur, montée de la sérotonine, pour nous permettre de vivre les stress normaux de la vie sans déprimer.

 

Lors d’une consultation avec une médium, celle-ci m’avise que les Maîtres m’incitent à promouvoir l’information sur l’usage des bains dérivatifs car ils stimulent le système immunitaire et seraient efficaces pour contrer les effets nocifs des vaccins.

 

Le bain dérivatif, en supprimant l’état inflammatoire et en permettant aux graisses brunes d’atteindre les moindres recoins du corps, exerce une action directe sur toutes ces fonctions.

Il active directement le fascia qui devient mobile, action mécanique qui engendre à la fois un phénomène d’absorption des indésirables déchets et distribution des nutriments.

Il élimine l’état inflammatoire, qui se note le plus souvent par une baisse de la température interne, et parfois par la remontée de cette température interne, si elle était trop basse, à son niveau moyen normal de 36,6 C.

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De nombreuses universités dans le monde montrent depuis 2008 que les graisses brunes réparatrices sont activées par la baisse de la température interne.

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